L’absence de confiance, l’autoritarisme et la peur ne doivent pas
être les valeurs managériales promues en CEPAC.
Les salariés ont le droit de faire grève et cela ne doit aucunement
entacher leurs possibilités d’évolution qui ne doivent être liées qu’à leurs
compétences.
HALTE aux intimidations , menaces sur les revalorisations, les
promotions, les candidatures qui sont autant de preuves du désarroi de
la Direction face à ce mouvement de grève du 17 Janvier 2023.
Et de plus, c’est ILLEGAL! « Aucun salarié ne peut être sanctionné, ni
faire l’objet d’une discrimination pour avoir fait grève »
Dans un contexte où le marché de l’emploi dans le secteur bancaire est de plus en
plus tendu, cela ne fait qu’écorner la marque Employeur de l’Entreprise! Est-ce
une attitude responsable?
Ce sont des comportements irresponsables et nous les dénonçons!!
Nous en appelons au sens des responsabilités du Directoire.
Sur la juste mesure des réponses apportées en NAO par le Directoire: des primes
uniques ne peuvent aider les salariés que l’année de leurs versements. Elles ne
peuvent pas être assimilées à une augmentation durable comme a tenté de
nous le faire croire la Direction. C’est pourquoi, s’il s'agit de la seule solution
proposée, elles doivent être surpondérées pour s’inscrire dans un soutien plus
durable aux salariés CEPAC dont les revenus fixes pour beaucoup se rapprochent
inexorablement du SMIC qui lui, est revalorisé régulièrement par les pouvoirs
publics alors que dans le même temps la CEPAC affiche pour la 2ème année
consécutive des résultats historiques qui dépassent les 200 millions d’€.